L’entreprise « FeuVert » offrira des cours de formation aux enseignants qui donneront le titre en Gestion d’Entreprise d’Entretien des Véhicules, certifiés par l’Université de Salamanca. En plus, elle collaborera avec l’école salésienne aux projets d’intégration sociale des jeunes à risque d’exclusion sociale.
« Análisis y Simulación » (Groupe AyS) pour sa part, fournira des cours de formation pour enseignants, consultation technique et licence ‘software’ dans les technologies les plus avancées et, en particulier, dans les applications de l’industrie 4.0.
L’entreprise « Herco », enfin, mettra à disposition des centres de formation professionnelle salésiens une vaste gamme d’instruments mécaniques, appareils et outillages techniques pour les classes et les laboratoires, avec la consultation technique et commerciale nécessaire.
Les accords ont été signés le mardi 6 novembre à Madrid, par le P. Ángel Asurmendi, Supérieur de la Provence « Marie Auxiliatrice » (SMX) ; par le P. Juan Carlos Pérez Godoy, Supérieur de la Province « Santiago el Mayor » (SSM), et par les représentants des trois entreprises collaboratrices. Présents aussi, pour l’occasion, les membres des Conseil provinciaux SSM et SMX.
Ces derniers accords signés à Madrid s’ajoutent à d’autres ententes de collaboration que les Salésiens ont signés dans les années précédentes avec des entreprises comme « Schneider », « Hoffmann », « Siemens », « Festo ». Les Fils spirituels de Don Bosco comptent 50 Centres de Formation Professionnelle en Espagne, fréquentés, dans l’ensemble, par 17.000 élèves, éduqués et accompagnés par 1.300 enseignants.
Les Plateformes Sociales salésiennes et l’« Association Salésienne de Technologie et Innovation », offrent aussi des cours de Formation professionnelle. Ces centres jouissent du support des entreprises de divers secteurs, pour faire en sorte que les élèves puissent avoir une vraie expérience dans le monde du travail.
Grâce aux bourses pour l’emploi et les projets lancés par les Salésiens, chaque année des milliers de jeunes – et parmi ceux-ci beaucoup de ceux à risque d’exclusion sociale – arrivent à trouver un poste de travail.