(ANS – Quito) – À l’automne de 1841, ordonné prêtre, visitant des enfants dans les prisons de Turin, Don Bosco est resté perplexe et il promit à Dieu : « Je vais prendre soin des enfants abandonnés, je donnerai ma vie pour eux ». Mais Don Bosco voulait le faire d’une manière préventive. Et Don Bosco prit le chemin de l’éducation : une sorte d’éducation qui prévient le mal. Les Salésiens de l’Équateur maintenant sont en train de réfléchir sur cette option éducative, par le biais du Congrès « Bons Citoyens et Système Préventif », qui attire des centaines de laïcs associés à la mission salésienne.

(ANS – Munich) – Les mots de Pape Francesco semblent être tirés des Pères de l’Eglise, mais avec un langage plus actuel et plus valide, compte tenu de l’urgence de la réalité de la vie des réfugiés, particulièrement les jeunes. Pape Francesco a insisté que « Le seul accueil ne suffit pas. Il ne suffit pas de donner un petit pain, s’il n’est pas accompagné de la possibilité d’apprendre à voler de ses propres ailes. L’organisme de bienfaisance qui laisse les pauvres comme il sont, ne suffit pas». Les Salésiens sont conscients de cette réalité difficile et douloureuse et avec la Fondation « Paribas » ont uni leurs forces au profit des enfants des réfugiés de leurs centres à Munich et Nuremberg.