LE MESSAGE DU RECTEUR MAJEUR
Je pense que c'est précisément ce qui nous importe le plus : sentir que notre vie est pleine. C'est une aspiration profondément humaine. En ce sens, je dois vous dire que je connais beaucoup de gens qui vivent et ont vécu une vie pleine. Et ils nous montrent le chemin du bonheur.
D’une expérience inoubliable naît un message d’amour et de reconnaissance qui vole vers Damas et Alep.
Bien chers Amis, Je vous écris depuis Asunción, la capitale du Paraguay. Il y a une heure, j’étais encore dans le Chaco Paraguayen où j’ai passé trois jours très intenses, très beaux et pleins d’expériences. J’ai pu échanger avec de nombreuses personnes autochtones. C’était mon objectif. C’est ce que j’avais demandé. Je voulais aller à la rencontre des peuples originaires avec lesquels mes frères et sœurs salésiens et salésiennes ont partagé leur vie durant 70 ans parfois.
« Là où il y a Don Bosco, il y a Marie ! », disait-on jadis. « Là où il y a un Salésien, il y a Marie Auxiliatrice ! », pourrait-on dire aujourd’hui. De Beyrouth au Valdocco, on sent la présence concrète de la Madone dans les œuvres salésiennes.