INTERVIEWS
(ANS – Busan) - Thomas Taban Akot, ancien élève de l’œuvre salésienne de Tonj, Sud Soudan, a obtenu son diplôme à la faculté de Médecine de l’Institut Médico-Universitaire Inje de Busan, et il a passé l’examen d’habilitation en Corée. Dans son parcours professionnel et humain, fondamentale a été la rencontre avec le P. John Lee Tae-Suk (1962-2010), médecin et Salésien coréen.
(ANS – Ville de Guatemala) - Raùl Vásquez Diéguez se définit « salésien depuis ma naissance » : « J’ai connu Don Bosco dès l’enfance, j’ai passé toute une vie à son côté à l’école salésienne de ma ville… Don Bosco a toujours été près de moi ». Il a prêté service, au niveau local, régional et national, dans l’Association des Salésiens Coopérateurs, et aussi dans l’Association des Anciens élèves, où, depuis quelques années, il est Directeur et Délégué pour le Anciens de l’œuvre Technique de la Ville de Guatemala et il coopère avec la Fondation « Alberto Marvelli » en faveur des jeunes plus désavantagés. Pour son engagement il a été primé par le Gouvernement Italien avec la décoration de Chevalier « Etoile de la Solidarité », et par le Saint Siège avec la « Croix Pro Ecclesia et Pontifice ».
(ANS – Tulear) – « Etant tout petit, après la première Communion, j’allais souvent à la Messe et je me rappelle qu’au mois d’octobre, le mois missionnaire, il y avait souvent des prêtres missionnaires qui rentraient et donnaient leur témoignage. A ces occasions les yeux et la fantaisie de nous jeunes voyaient déjà les missions infinies de ces ‘prophètes et héros de notre temps’ et un dimanche, j’ai dit à maman : ‘Maman, je veux partir, moi aussi, comme missionnaire’ ». Celui qui parle est le P. Maurizio Rossi, Salésien italien, missionnaire au Madagascar pendant 25 ans, et maintenant à l’île Maurice.
(ANS – Chisinau) – « C’est vraiment une belle œuvre, car, selon moi, elle reprend tous les quatre éléments propres de la maison de Don Bosco : maison qui accueille, par la famille ; la cour, où on se retrouve et on est éduqués ; l’école, avec les cours de formation professionnelle ; et une église, grâce à notre petite paroisse, qui compte à peine une quarantaine de catholiques ». C’est la présence salésienne de Chisinau, en Moldavie, et celui qui nous la présente est le P. Tiziano Baracco.