As-tu des modèles de Salésien Coadjuteur ?
Après avoir lu les biographies de 33 Salésiens Coadjuteurs, au début de mon parcours dans la Congrégation, je peux nommer Mr Giuseppe Buzzetti. Bien que les temps d’aujourd’hui soient très différents, toutes ces figures m’ont inspiré beaucoup au cours de mon parcours vocationnel. Mais aujourd’hui aussi il y a de bons exemples : parmi ceux que j’ai connu directement, les philippins Raymond Callo et Ephrem Santos.
Quelle est la chose qui soutient ta vocation ?
Ma vocation croit avec de fortes convictions : la motivation intérieure, comme lumière de Dieu, d’avoir été choisi personnellement par notre Seigneur. Je suis plus fort dans la vocation quand j’écoute sa voix intérieure. Surtout la semaine de la Retraite m’est très utile. Dans vie quotidienne aussi, quand je dois affronter les défis de mon travail ou des relations interpersonnelles, je reviens pour écouter cette voix intérieure qui me donne de l’énergie.
Quelle est la contribution spécifique du Salésien Coadjuteur à la mission salésienne ?
L’élément charismatique se remarque. Nous avons besoin des deux visages de Don Bosco : prêtre et coadjuteur.
Que faire pour rendre plus visible la vocation du Salésien Coadjuteur dans l’Eglise ?
Nous avons besoin de la présence de Salésiens Coadjuteurs dans nos paroisses. Nous devons parler et présenter cette vocation aux fidèles. Les Salésiens Coadjuteurs plus âgés travaillaient beaucoup mais seulement à l’intérieur des maisons et ils étaient presque invisibles dans l’Eglise. Par exemple, la proposition de Mr Thomas Kikama, SDB, qui était à Beppu comme membre de la commission diocésaine de Oita pour les vocations, a été très importante pour nous. Dans le contexte du Japon, aussi, la présence évangélisatrice du Salésien Coadjuteur comme catéchiste dans les écoles catholiques pourrait être un témoignage précieux.
Source : AustraLasia