L'Institut, qui prend le nom de Saint François de Sales, entend offrir des opportunités de formation et d'acquisition de compétences liées à la spiritualité des jeunes, à la pastorale, au travail avec les jeunes, à l'éducation et à la pédagogie et au développement personnel. L'approche éducative salésienne sera au centre de la réalisation de ces cours, à travers l'éducation non formelle.

Lors du lancement, il a été expliqué que la méthode d'éducation non formelle sera cependant soutenue par une licence en tant que fournisseur de services et d'accréditation de programme, obtenue auprès de l'Autorité maltaise de l'enseignement supérieur et de l'enseignement post-obligatoire. Cela signifie que les cours de ce nouvel Institut de Formation bénéficieront d'une accréditation européenne.

Marica Aquilina, Coordinatrice du projet des Salésiens de Don Bosco, a expliqué que l'objectif de l'institut est de donner une plus grande valeur aux expériences des jeunes qui participent à l'éducation non formelle. « Les jeunes et les adultes - a-t-elle dit - pourront acquérir des connaissances et des compétences utiles au travail, dans les organisations auxquelles ils participent et dans la vie en général, en recevant également un certificat. »

Le P. Robert Falzon, Directeur de l'Institut, a déclaré que bien que le contenu de ces cours soit précieux, la méthode d'enseignement sera considérée comme une priorité. En fait, il a expliqué que le contenu portera sur la connaissance extérieure à l'individu, alors que la méthode se concentrera précisément sur l'individu et son bien-être holistique.

De plus, lors de l'inauguration, la deuxième édition de « St. Francis de Sales: The Bee and the Blossoms » (Saint François de Sales : l'abeille et les fleurs) a été présentée. C'est un livre qui rassemble divers essais qui expliquent et analysent divers aspects relatifs à la figure de Saint François de Sales. Cette deuxième édition de la collection comprend également la Lettre apostolique « Totum amoris est, » publiée par le Pape François le 28 décembre dernier, exactement quatre cents ans après la mort du saint évêque genevois.

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