Si Marie-Dominique peut apparaître un peu austère, avec son grand voile noire, si « on ne connaît d’elle que la représentation schématique de son petit village de Mornèse perché sur une colline » – dixit des frères salésiens que nous remercions de nous avoir ainsi provoquées !- il est étonnant de voir l’enthousiasme des plus jeunes pour cette sainte qui n’avait de cesse de demander : ‘Es-tu joyeuse ?’. Marie-Dominique a quelque chose à dire aux jeunes, aux parents et éducateurs d’aujourd’hui. N’oublions pas qu’elle avait déjà mis en œuvre avec des compagnes une présence éducative importante auprès des petites filles de Mornèse 12 ans avant sa rencontre avec Don Bosco ! Lors de cette rencontre, en 1864, chacun a trouvé chez l’autre une très forte connivence, comme une correspondance éducative et spirituelle.
Sandrine GILLES et Marie VAILLANT, soeurs salésiennes de Don Bosco, sont investies dans la pastorale des jeunes, l'une au centre spirituel de Farnières, l'autre au sein d'un internat scolaire, à Bruxelles.
Edition NOUVELLE CITE, 128 pages.