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(ANS – Barcelona) - En 1881 les Salésiens arrivèrent en Espagne, alors que Don Bosco était promoteur de ses œuvres et grand voyageur à la recherche de l’aide pour ses enfants pauvres. En passant par l’Espagne, le 5 mai 1886 se vérifia un fait que « nous pouvons définir historique ». Parmi les collines de Barcelone, une des plus haute est la colline appelée « Tibidabo ».  Quelques personnages illustres, pour perpétuer sa présence, demandèrent à Don Bosco : « Qu’on y édifie un sanctuaire au Sacré Cœur de Jésus ». Don Bosco, un peu ému, répondit : « Oui, Messieurs, avec votre aide il y aura bientôt sur cette colline un sanctuaire dédié au Sacré Cœur de Jésus ». Dans ce même sanctuaire on a clôturé le Congrès de la Miséricorde.

(ANS – Brasilia) – L’histoire de la ville de Brasilia est étroitement liée à Don Bosco et aux Salésiens. Selon la tradition, le 30 août 1883 Don Bosco fit un ‘songe missionnaire’ où il prévit l’action évangélisatrice de ses fils spirituels. Parmi les endroits où ils auraient travaillé, il vit Brasilia. Il n’y a pas de doute qu’à Brasilia, ils réussirent à lancer, en un peu de temps, un important service en faveur de jeunes pauvres et besogneux, comme voulait Don Bosco. Et à l’occasion du 82e anniversaire de la canonisation de Don Bosco, les Salésiens ont reçu, de la société  brésilienne, une reconnaissance pour leur service.

(ANS – Lisbonne) –Dans l’Europe des frontières et de revendications nationalistes il y a aussi des gens qui font, spontanément, le premier pas pour aller à la rencontre des réfugiés qui échappent de la guerre ou de la pauvreté. C’est la cas du Portugal, qui, par ses organismes d’Etat a manifesté sa volonté d’aider les pays européens les plus exposés au phénomène de l’émigration dans l’accueil des migrants. La Famille Salésienne aussi fait partie du réseau des organisations engagées en cette œuvre humanitaire.

(ANS – Sana’a)  La Famille Salésienne continue à suivre avec grande attention la situation du P. Tom Uzhunnalil, kidnappé à Aden le 4 mars dernier. Mais il n’y a pas que le salésien qui souffre au Yémen : c’est tout un pays qui est éprouvé par 16 mois de guerre, civile d’abord, et puis par les bombardements de la coalition à guide saoudite. Le conflit est en train de prendre des proportions terrifiantes et les plus frappés, comme d’habitude, sont les mineurs : « les enfants ne son en sécurité nulle part au Yémen » a dit Julien Harneis, représentant UNICEF dans le pays arabe.

(ANS – San Benito Petén) – On a lancé, à la mission salésienne de San Benito Petén, un projet grandiose : construire la salle paroissiale, un espace pour la catéchèse, pour les rencontres et les activités de la mission, et fonder une équipe de football sur le modèle du ‘San Lorenzo’ en Argentine. « Avec le football on peut faire sortir de la rue beaucoup de jeunes », nous dit le P. Giampiero de Nardi, missionnaire salésien à San Benito Petén.

(ANS – Rome) – Les enfants qui vivent dans une pauvreté absolue sont, en Italie, plus d’un million et plus de 3 millions et demi sont à risque pauvreté et exclusion sociale, sans la possibilité de se construire un lendemain heureux. Les Salésiens d’Italie croient que l’éducation soit l’instrument pour éclairer l’avenir de ces petits et qu’elle soit le présupposé pour sortir des situations d’émergence et de misère où se trouvent encore aujourd’hui de nombreuses villes.

InfoANS

ANS - “Agence iNfo Salésienne” – est un périodique pluri-hebdomadaire télématique, organe de communication de la Congrégation salésienne, inscrit au Registre de la Presse du Tribunal de Rome, n. 153/2007.

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