La collection, qui comprend 12 publications, concerne la construction de l’église de Ste. Marie Auxiliatrice qui est racontée dans ses aspects historiques, artistiques et religieux avec différents modes de présentation allant de la brochure au dépliant, au livret, au texte.

Ce choix d’opter pour une forme variée au lieu d’un seul texte commémoratif a favorisé la célébration des centenaires avec de nombreux événements à l’occasion des principales fêtes de l’année et il a rencontré l’intérêt de divers lecteurs : l’historien professionnel, l’amant du territoire, le paroissien qui revit les époques de son passé récent et le touriste en visite guidée les soirs d’été.

De tous les textes, le « Petit guide de l’église de Ste. Marie Auxiliatrice » de l’auteur de Rimini le plus qualifié du secteur, l’historien Piergiorgio Pasini, est particulièrement important.

Le texte « Personnes et faits de l’Église de Marie Auxiliatrice, » écrit sur un dépliant de huit feuilles pour souligner le chemin chronologique, est original.

D’autres publications spécifiques sont consacrées à la lecture attentive de certains détails de la structure, tels que les vitraux ou la pierre tombale des réfugiés vénitiens, ou à l’examen minutieux du style gothique et de la symbolique religieuse présents dans l’église.

Et comme une église n’existe que si elle est habitée par une communauté, les gens peuvent aussi trouver une place dans le coffre, avec des publications visant à rappeler les nombreux bienfaiteurs, le précité Alberto Marvelli, ainsi que le célèbre père salésien Antonio Gavinelli, fondateur de l’œuvre.

Toute la conception graphique a été réalisée par le studio Kaleidon sous la direction de Francesco Ramberti.

Les textes de Sonia Bodellini et Adriani-Masini pour le format « extra large » et celui de la Via Crucis, en cours d’élaboration, ne sont pas inclus dans la collection.

« Ce serait trop de souhaiter ad perpetuam rei memoriam (en souvenir perpétuel de la chose), mais l’intention de laisser des souvenirs et de l’admiration est sincère, » concluent les Salésiens de Rimini.

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