(ANS – Rome) – Si tu as moins de 10 ans et vis à Alep, le seul scénario de vie dont tu te souviennes est celui de la guerre. Si tu es un adolescent, la guerre a marqué tout ton passé récent et marque ton présent, tu es assez grand pour regretter la paix. Comment font-ils alors les Salésiens, qui vivent pour les jeunes, à maintenir l’espérance en ces circonstances ?

(ANS – Vienne) - L’envie de survivre de la population en Syrie est plus forte de la guerre. C’est ce qu’a dit le salésien syrien, P. Dani Gaurie, le mercredi 30 novembre dernier, au ‘Salesianum’ de Vienne, alors que, en coopération avec les responsables de l’initiative « Don Bosco avec les réfugiés », il présentait la situation actuelle en Syrie.  Les Salésiens continuent à être actifs comme auparavant : 4 animent le centre des jeunes de Damas, 3 travaillent à l’oratoire d’Alep Ouest. Toutes les activités sont possibles seulement en ces zones, contrôlées par le gouvernement.

(ANS – Abuja) – Le P. Jorge Crisafulli est un salésien argentin, missionnaire en Afrique depuis 20 ans. Dans cette histoire, pleine de simplicité, il présente un beau message de service missionnaire : le tout s’est passé dans un marché, au Nigeria, dans la rue, pas loin de la communauté salésienne d’Abuja, la capitale. Le Nigeria est le géant d’Afrique, riche en ressources naturelles et humaines, avec 180 millions d’habitants et producteur de pétrole, mais, malheureusement, très mal administré au cours des dernières décennies.