(ANS – Luanda) – « Le volontariat est l’acte de donner son propre temps et ses connaissances personnelles pour promouvoir la communauté ou la société où on vit, par des actions qui ne sont pas payées, mais qui ont une valeur importante pour soi-même, pour ta communauté et pour le prochain. Si, en plus, nous faisons tout cela pour Dieu… j’ai tout dis ». C’est ce qu’écrit le Provincial des Salésiens d’Angola, le P. Victor Luis Sequeira, sur la première page du livre photographique « Cuando das…amas », de la photojournaliste argentine, volontaire, Evangelina Martinez.

(ANS – Bukavu) – La République Démocratique du Congo est un pays des contrastes : très étendu, avec 2 millions et 300 mille Km2, et relativement peu habité, avec 30 habitant au Km2 ; très riches en ressources naturelles, avec une population en grande majorité très pauvre, ou, mieux, ‘appauvrie’ ; où au cours des 20 dernières années, il y a eu entre 5 et 6 millions de morts à cause des guerres, et la misère, la faim, les maladies, l’exploitation sont des expériences quotidiennes pour beaucoup, et pourtant les gens ont souvent le sourire aux lèvres et manifestent, chaque fois qu’elles peuvent, la joie et le désir de vivre.

(ANS – Rome) – L’ambition et la convoitise dans la société contemporaine sont moralement acceptées, puisqu’elles rentrent dans la logique du ‘homo homini lupus’, par laquelle la vexation de l’autre pour le succès personnel est toujours primé. Masi ce paradigme peut-il valoir pour un Salésien ? « Le salésien – disent les Constitutions – se donne à sa mission avec une ardeur infatigable et le souci de bien faire toute chose avec simplicité et mesure. Il sait que son travail le fait participer à l’action créatrice de Dieu et coopérer avec le Christ à la construction du Royaume ». (Art.18)