Le continent américain a mis en évidence comment l’espérance vient de Dieu, qui nous motive à rencontrer les jeunes les plus pauvres et leurs familles. La prière personnelle et communautaire, signe de la rencontre avec le Christ, est une école d’espérance pour l’annonce du Royaume, la dénonciation des injustices et la promotion de la dignité humaine.
De l’Espagne et de la Guinée Équatoriale, il a été souligné que le monde, et en particulier les jeunes, a besoin de la contribution du charisme salésien. Pour cela, il est indispensable de découvrir et de vivre l’Évangile de Jésus de Nazareth comme lumière et source de toute action pastorale, renforçant la prière, la foi, la confiance en Dieu.
La Famille Salésienne de la Région Asie Est - Océanie, composée de 16 groupes vivant dans 23 Pays, a souligné la nécessité de grandir dans l’unité, de cultiver l’appartenance et de partager une mission commune, avant tout vécue comme un service et une relation. Pour cela, il est nécessaire de maintenir la foi vivante dans les situations et circonstances quotidiennes, en regardant les jeunes non seulement comme des destinataires de la mission de la Famille Salésienne, mais comme une source d’inspiration.
D’Asie Sud, la communion entre les membres de la Famille Salésienne dans un esprit d’ouverture et de pardon a été réaffirmée comme une priorité ; de plus, il est urgent de transmettre l’expérience de Dieu aux jeunes et de les aider à trouver du réconfort dans la foi en Jésus. Pour cela, il est nécessaire d’accompagner les jeunes et leurs familles avec des écoles de prière, sans négliger de s’unir pour soulager la souffrance des jeunes pauvres, avec une attention particulière aux migrants et à l’insertion professionnelle.
De la Pologne on confirme qu’il est important d’avoir des relations avec les autres : en famille, avec des voisins, avec des amis, notamment à travers l’accompagnement des jeunes, à leur écoute. Pour cela, il faut être ouvert, authentique, témoin de la proximité de Dieu.
Du continent de l’espérance, l’Afrique et Madagascar, vient le message de redécouvrir la présence de Dieu en chacun, en apprenant à regarder sa propre fragilité non pas comme un obstacle, mais comme une volonté d’accueillir Dieu en nous et d’accueillir l’autre. Pour cela, il ne faut pas se refermer, mais apporter sa propre lumière et l’unir aux autres : l’espérance n’est pas de la poésie, mais une action éclairée par la foi, qui conduit à faire de petits pas quotidiens, avec un cœur chrétien aux couleurs salésiennes.
Enfin, du Portugal, du Cap-Vert, du Mozambique et de l’Angola vient l’invitation à « imiter Don Bosco et sa grande capacité à enthousiasmer ses jeunes à vivre la vie comme une fête et « la foi comme bonheur, » pour à être de vrais témoins d’espérance.