(ANS- Alep) - A Alep on ne combat plus, mais ce n’est pas pour cela que la situation est facile, aujourd’hui. Bien au contraire, « certains disent carrément que c’était mieux au temps de la guerre », nous raconte le P. Pier Jabloyan, Directeur de la maison salésienne en ville. La pénurie des biens de première nécessité et la lenteur dans la reconstruction éteignent l’espoir des citoyens. Les Salésiens, après avoir résisté durant les années de guerre, n’abandonnent pas. Ils prennent courage des jeunes eux-mêmes.

(ANS – Vatican) – « Alors, elle cuisine bien, cette fille ? », a demandé hier le Pape François au salésien P. Jorge Crisafulli, en marge de l’audience générale. Avec le trait humain qui le distingue, le Saint Père était en train d’entrer en relation avec Augusta, la jeune fille de la Sierra Leone, obligée à se prostituer tout petite, mais qui, grâce au « Don Bosco Fambul » de Freetown, a, maintenant, une petite activité de restauration et elle enseigne la cuisine à d’autres filles victimes de la prostitution forcée.  Sur cette rencontre et sur l’efficacité de l’advocacy salésienne pour les plus besogneux, nous en a parlé le P. Crisafulli.

(ANS – Esmeralda) – La communauté « St Philippe Neri » d’Esmeralda sera le lieu de mission de Giuliano Maggi, volontaire de 27 ans de l’Uruguay, parti pour « tout donner » dans une des œuvres d’option préférentielle des Salésiens en Equateur. Sa tactique pour gagner la confiance des jeunes sera celle de jouer au football avec eux et utiliser un bon « mate » - typique infusion sud-américaine – comme excuse pour s’assoir et perler avec eux de leur vie.