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Johannesburg, Afrique du Sud - mai 2017 - Le 13 mai, fête de Sainte Marie Dominique Mazzarello, la Famille Salésienne de la région de Johannesburg s'est retrouvée au siège de la Vice province de l'Afrique Méridionale (AFM), pour célébrer la journée de la Famille Salésienne. Le P. François Dufour, SDB, Supérieur AFM, et sr Marie-Claire Jean, FMA, Provinciale AFM, ont donné la bienvenue aux participants, membres de la FS et aux collaborateurs laïques, suivie de quelques moments de réflexion sur les thèmes de la Spiritualité Salésienne. Le P. Américo Chaquisse, Conseiller pour la Région Afrique-Madagascar, a présidé l'Eucharistie, et sr Chantal Mikase, Conseillère/visiteur des FMA a donné le message final.
Johannesburg, Afrique du Sud - mai 2017 - Le 13 mai, fête de Sainte Marie Dominique Mazzarello, la Famille Salésienne de la région de Johannesburg s'est retrouvée au siège de la Vice province de l'Afrique Méridionale (AFM), pour célébrer la journée de la Famille Salésienne. Le P. François Dufour, SDB, Supérieur AFM, et sr Marie-Claire Jean, FMA, Provinciale AFM, ont donné la bienvenue aux participants, membres de la FS et aux collaborateurs laïques, suivie de quelques moments de réflexion sur les thèmes de la Spiritualité Salésienne. Le P. Américo Chaquisse, Conseiller pour la Région Afrique-Madagascar, a présidé l'Eucharistie, et sr Chantal Mikase, Conseillère/visiteur des FMA a donné le message final.
Au cours d’une récente rencontre, au Vatican, des novices salésiens avec le Pape François, un novice demanda quelques paroles sur la sainteté. Et le Pape répondit : « ‘Marche en ma présence et soit irrépréhensible’. Voilà la meilleure définition de sainteté, ce sont les paroles de Dieu à Abraham. Dominique Savio avait l’habitude de vivre en présence de Dieu et, tout en ajustant les choses, je crois qu’aujourd’hui il est possible d’être saints. Gens héroïques, parents, grands-parents, jeunes, saints cachés, ou comme ce français qui disait : ‘ceux qui appartiennent à la classe moyenne de la sainteté qu’on ne voit pas, mais il y en a’ ».
(ANS – Nairobi) – Mourir tué à 17 ans, par des coups de feu inconsidérés, qui sont dirigés contre toi, même si tu n’as pas de fautes et tu es malheureusement mal accompagné. C’est la tragique histoire de Richard Muiruri, un ex enfants de la rue qui fréquentait le centre salésien « Bosco Boys » de Nairobi et qui avait déjà entrepris un parcours de croissance et de maturation comme homme et comme chrétien.