(ANS – Antananarivo) – A ceux qui partagent avec les Salésiens les défis, les rêves, les difficultés et la spiritualité ; et à ceux qui représentent le sens, la raison d’être, le présent et l’avenir de la Congrégation : à tous ceux-là, c’est-à-dire à la Famille Salésienne et aux jeunes, c’est à eux que le Recteur Majeur, le P : Ángel Fernández Artime, a consacré son temps dans la journée de vendredi, 1er avril, dans le cadre de sa visite d’animation au Madagascar.

(ANS – Bangalore) – Le Ministre des Affaires Etrangères indien, Mr. Sushma Swaraj, a reçu, le samedi 2 avril, une délégation de la Conférence des Evêques Catholiques de l’Inde (CBCI) pour mettre au courant les prélats au sujet du P. Tom Uzhunnalil, le salésien indien de la Province de Bangalore, kidnappé le 4 mars dernier durant l’attaque à la maison des Missionnaires de la Charité à Aden, Yémen. Entre temps aujourd’hui, 4 avril, à un mois exact du massacre et du kidnapping, sur initiative des Salésiens et de l’archidiocèse de Bangalore, se déroulent, a la cathédrale une veillée de prière et une messe pour le P. Tom. L’archevêque de Bangalore, Mgr. Bernard Moras, qui présidera la cérémonie, a invité tous les fidèles à la participation.

(ANS – Khartoum) – Il y a quelques années le Soudan a été projeté au premier plan des chroniques mondiales par des photos qui ont vaincu le prix Pulitzer. Un grand photographe, Kevin Carter, avait prit la photo d’une fille, avec le sous-titre : « La fille et le vautour ». La photo montrait, en effet, un vautour derrière la petite, comme en attente qu’elle meure pour s’en repaître. L’image fit le tour du monde, elle a été louée pour son contenu et sa signification, on en parla beaucoup. Mais il y a une vérité qu’aujourd’hui le monde n’a pas encore comprise : faire quelque chose pour changer la vie de millions d’enfants et pour les enlever d’une misère qui devient inhumaine.

(ANS – Santiago du Chili) – Souvent, et pas seulement sur les réseaux sociaux, mais aussi dans les salles du tribunal, on discute  au sujet  des molestations  et humiliations reçues dans les universités. Ce genre  de gestes  outrageux, définis comme « baptême » - et au Chili en particulier « mechoneo » - est une sorte de ‘bienvenue’ aux matricules, soit à l’université soit en d’autres institutions. Mais une chose est claire, c’est que souvent elle va bien au-delà que la simple plaisanterie  pour intégrer  les étudiants à peine arrivés. Ce sont des comportements qui prévoient  humiliations, vexations, rapports de domination-soumission, abus et manque de respect.  Les jeunes de l’Université Salésienne du Chili ont décidé de changer de style de la ‘ bienvenue’ et ils l’ont appelée « mechoneo solidale ». 

(ANS – Araçatuba) – Selon une étude, les Universités du Brésil comptent à peine 28 étudiants sur 1000 habitants. Le nombre d’étudiants est petit par rapport aux universités en Amérique Latine. Mais ce qui est le plus préoccupant, c’est que sur 100 étudiants, seulement 50% complètent les études. Un éditorialiste, Aldo Guadagni, s’est demandé : « Qui se préoccupe pour l’avenir de l’emploi des jeunes d’aujourd’hui dans le difficile monde globalisé ? ». Et du côté salésien on ajoute : « Qui se préoccupe de la dimension religieuse dans l’Université ? ». Très peu d’Université ont le courage de vivre la dimension religieuse. L’Université Salésienne a essayé de vivre l’Année de la Miséricorde en réalisant une rencontre avec les jeunes universitaires, le « Camp de la Miséricorde ».